J'ai lui récemment un article sur le facebook de la gendarmerie nationale qui venait de démanteler un vaste réseau de proxénétisme dans l'Isère. A ce propos, je demande l'autorisation de ré-ouvrir les maisons closes. C'est une vieille DOLÉANCE.
En 1974 alors que je rentrais en France après des années de vie en Australie, j'avais trouvé du travail dans une école privée d'anglais à Lyon. Je travaillais à enseigner l'anglais par des méthodes modernes à des cadres de l'industrie et je rentrais souvent tard le soir. Comme je n'habitais pas loin de mon lieu de travail en centre ville, je rentrais à pied. Or, il m'arrivait que tout en marchant sur le trottoir bien éclairé je me faisais suivre par des voitures qui roulaient au pas. On me susurrait des propositions par la vitre baissée, pendant que je marchais. Je crois me souvenir qu'un jour j'avais éclaté de rage et avais hurlé qu'ils aillent se faire foutre... Plus tard j'avais déménagé dans un quartier extérieur et je prenais le bus pour rentrer. Mais de tout ça, j'ai gardé jusqu'à aujourd'hui un demi-siècle plus tard une sensation de saleté et de rejet total pour cette engeance que sont les "utilisateurs" de prostituées.
Comme nous sommes en période de DOLÉANCES, je demande instamment qu'on ouvre des maisons closes pour que le tapin sauvage soit éradiqué. C'est une peste, un fléau insupportable. On en voit partout de ces camionnettes stationnées aux bords des routes. Eradiquons au moins ce tapin sauvage si on ne peut pas éradiquer la prostitution. C'est une activité du même ordre que le traffic de drogues.
En 1974 alors que je rentrais en France après des années de vie en Australie, j'avais trouvé du travail dans une école privée d'anglais à Lyon. Je travaillais à enseigner l'anglais par des méthodes modernes à des cadres de l'industrie et je rentrais souvent tard le soir. Comme je n'habitais pas loin de mon lieu de travail en centre ville, je rentrais à pied. Or, il m'arrivait que tout en marchant sur le trottoir bien éclairé je me faisais suivre par des voitures qui roulaient au pas. On me susurrait des propositions par la vitre baissée, pendant que je marchais. Je crois me souvenir qu'un jour j'avais éclaté de rage et avais hurlé qu'ils aillent se faire foutre... Plus tard j'avais déménagé dans un quartier extérieur et je prenais le bus pour rentrer. Mais de tout ça, j'ai gardé jusqu'à aujourd'hui un demi-siècle plus tard une sensation de saleté et de rejet total pour cette engeance que sont les "utilisateurs" de prostituées.
Comme nous sommes en période de DOLÉANCES, je demande instamment qu'on ouvre des maisons closes pour que le tapin sauvage soit éradiqué. C'est une peste, un fléau insupportable. On en voit partout de ces camionnettes stationnées aux bords des routes. Eradiquons au moins ce tapin sauvage si on ne peut pas éradiquer la prostitution. C'est une activité du même ordre que le traffic de drogues.
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